Un bon disque

[Le K.]

En ce moment j'écoute ce premier disque de Hell "Human Remains", groupe oublié de la NWOBHM qui a splitté dans les années 80's, et qui ont enregistré leurs morceaux seulement en 2013 pour cet album. Je les ai découvert sur scène, on sent tout de suite la maturité, du heavy/speed complexe et sophistiqué comme seuls les grand groupes étaient capables de composer (Maiden, Sanctuary, Mercyful Fate, Metal Church...), un cran au dessus de toutes ces innombrables merdes actuelles de old-school/revival.

[Padre_PC]

"De Mysterris...Alive" de Mayhem, live issu de la tournée anniversaire vers 2015. Excellement glauque, comme la série de concerts de cette tournée

[Le K.]

Ils sont passés à 15km, dans la même salle où on a joué l'unique concert d'IMPERIAL, pour jouer tout l'album, mais j'étais pas motivé pour y aller, j'avais une bonne crève... il parait que c'était super.
En tout cas Necrobutcher a des goûts musicaux qui me plaisent bien

[Le K.]

Un album bien sympa à écouter et avant-gardiste, même si j'ai jamais été fan de Brian Eno :



Brian Eno debut solo album released on Island Records in 1973. A hybrid style of glam rock and art rock, similar to his work with Roxy Music, but more quirky and experimental. It features various guest musicians, including Robert Fripp of King Crimson, members of Roxy Music, Hawkwind, Matching Mole, and The Pink Fairies. Eno developed the work using abstract methods - such as dancing for band members and having them play accordingly, or singing nonsense words to himself that would form the basis of subsequent lyrics.

[Le K.]

Allez, encore un hommage à D.A.F., j’espérais tant un dernier album. Tant pis, y a quand même cette pépite dont je n'arriverai pas à me lasser :

[Le K.]

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En cherchant des morceau de Kraftwerk à poster, je me suis replongé sur cet album, qui fut le plus attendu avec "Tour de France", 5 ans pour le finir après plusieurs versions avortées. Finalement, gros flop à sa sortie en '86. Entre temps, des milliers de groupes sont apparus dans la scène électro, ils ont loupé leur course contre la montre, et "Electric Cafe" sonne comme les groupes qu'ils ont influencé (Depeche Mode, Art of Noise, F242...), limite dépassé, avec des touches EBM, indus, et dub.
Et pourtant c'est peut-être mon préféré, une saveur et une identité propre. Ici l'accent est mis davantage sur les mélodies. A chaque fois que je l'écoute, je passe un super moment, un travail d’orfèvre de la première à la dernière seconde, rien à jeter. Une écoute à fort volume est pour le coup indispensable.

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